Bien dans son assiette : bien dans son corps, bien dans sa tête

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Photo : Lindsey Stirling

Après avoir compris combien il faut respecter ce qui nous entoure et ce qui participent à l'équilibre du monde, je vais vous expliquer combien il est bon pour nous de ne pas manger d'animaux.

Car tout d'abord, pour les carthésien, une étude scientifique à bien démontré que notre corps n'est pas conçu pour supporter la viande. Autrefois oui, mais l'Homme a évolué. Nos canines se sont émoussées avec les millénaires, et ne peuvent couper correctement que des végétaux. Nos mollaires en revanche sont bien présentes, les mêmes que les animaux herbivores. Du coup, les mangeurs de viandes ne font pas correctement le travail de mastiquation ce qui donne d'autant plus de travail à l'estomac. De plus, celui-ci, à l'image de nos ancêtres les singes, n'ai pas fait pour produire suffisamment de suc gastrique pour éliminer la viande. D'où les problèmes de digestion de nombreux carnivores ^^''. Si après ces arguments certaines personnes cherchent la petite bête dans nos arguments, sachez que ce sont ceux qui se sentent le plus coupable, même inconsciemment...

Sachez aussi que lorsqu'on mange un animal, qui est, rappelons-le, un être vivant, on absorbe également toutes les toxines du à ses émotions, à son mode de vie. Avant d'être tué, un animal ressent ce qu'on va lui faire ; elle a beau avoir eu une belle vie dans un pré fleurie, la peur qu'elle ressent lui fait produire une énorme dose de toxines que les carnivores absorbent sans le savoir. Mais il faut surtout savoir que la nature nous donne directement ce dont nous avons besoin : les nutriments, vitamines, protéines, minéraux et autres éléments essentiels à notre santé sont chargés à bloc dans les aliments directement issu de la terre : il est connu qu'un légume non transformé (donc cru) contient plus de vitamines qu'un légume cuit, car l'énergie transmise par la nature n'a pas subi de transformation. Or, vous devinez bien qu'un animal contient très peu de cette énergie essentielle pour nous. Car les seuls vitamines qui pourraient subsiter, par exemple dans un steak, sont celles de l'herbe absordée par le boeuf. Sauf qu'elle a été mâchée, puis digérée et enfin mélangée avec les toxines dans le sang de l'animal...

Ne sentez-vous pas que votre corps respire et vous dit "ouf !" quand vous manger une salade ou une pêche ?